A propos des gaz nuisibles à la couche d’ozone
Les CFC (chlorofluorocarbures) n’ont commencé a être utilisés comme gaz réfrigérants dans l’industrie qu’à partir de 1931 sous le nom de “fréons ». Le premiers réfrigérateurs domestiques utilisant ce gaz apparurent à partir des année 1950. Les CFC étaient utilisés également par la suite comme propulseurs dans les aérosols comme dans la fabrication de polystyrène.
Mais dès 1985 les observations scientifiques constatèrent que ces gaz, qui finalement finissaient par se retrouver dans l’atmosphère, avaient beaucoup nuit à la couche d’ozone qui nous protège des rayons ultraviolets émis par le soleil : un vaste trou dans cette couche était découvert au-dessus de l’Antarctique!
Les essais de remplacements des CFC par les HCFC (hydrochlorofluorocarbures) n’avaient en rien solutionné le problème, ces derniers étant tout aussi destructeurs de la couche d’ozone et constitutifs de gaz à effet de serre mille fois plus dangereux que le CO₂ pour contribuer au réchauffement climatique.
A partir de 1992, certains pays commencèrent à les proscrire. Et grâce à une mobilisation internationale pour sauver la couche d’ozone, en 1987 le protocole de Montréal était signé pour proscrire l’usage progressivement des substances appauvrissant la couche d’ozone (SAO),
Depuis il existe une règlementation prise au niveau communautaire qui a repris les règles d’interdictions et d’obligations découlant du protocole de Montréal. Elles sont déclinées au plan national.
Depuis l’état de la couche d’ozone s’améliorerait progressivement qui visait à réduire et éliminer comme les chlorofluorocarbures (CFC) et autres halocarbures.
Voir sur ecologie.gouv.fr la page : Substances à impact climatique, fluides frigorigènes
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