Non au NUCLEAIRE.
Qu’il soit civil ou militaire, le nucléaire fait courir un risque énorme à tous les êtres vivants, en raison des possibilités d’accidents, d’attentats, voire de chantage prenant la sécurité des populations et de l’environnement en otage.
Le nucléaire est entré dans l’histoire les 6 et 9 août 1945 avec les deux bombes atomiques américaines jetées sur les villes japonaises d’Hiroshima et de Nagasaki qui firent 110 000 morts et 140 000 blessés…
D’autre part les activités de l’atome engendrent des déchets dangereux pour des siècles et hypothèquent l’avenir de nos descendants.
Comme toutes les associations de protection de l’environnement, la CPEPESC est opposée au développement des activités nucléaires d’autant qu’il existe dans l’univers terrestre une quantité phénoménale d’énergies disponibles, gratuites et sans déchets (solaire, géothermie, biomasse, hydrogène,…) mais auxquelles les pouvoirs publics n’ont jamais consacré de moyens de recherche suffisants.
La CPEPESC soutient le Réseau Sortir du nucléaire, dont les membres ont ont pour but d’obtenir l’abandon du nucléaire en France grâce à une autre politique énergétique, en favorisant notamment la maîtrise de l’énergie et le développement d’autres moyens de production électrique.
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Il est impossible pour des gens responsables de parrainer le prochain accident nucléaire annoncé…. par la poursuite des programmes nucléaires.
L’explosion d’un réacteur de la centrale nucléaire de Tchernobyl, en Ukraine, avait fait en 1986, 31 morts, selon un bilan des autorités soviétiques de l’époque, mais depuis, quelque 25.000 décès liés à la catastrophe ont été enregistrés et près de six millions de personnes continuent à vivre dans les zones contaminées par les radiations, dont 1,5 million au Belarus voisin…
Les accidents nucléaires sont possibles, puisque l’Agence Internationale de l’Energie Nucléaire en a établi une échelle de gravité dont Fukushima et Tchernobyl ont atteint le niveau 7 !
QUELQUES DATES REPÈRES
28 mars 1979,THREE MILES ISLAND (US, Pennsylvanie). C’est le premier accident nucléaire que les autorités américaines avaient toujours déclaré impossible. Conséquences sanitaires minimisées et mal connues. Plus de 100 000 personnes évacuées d’urgence.
26 avril 1986 : TCHERNOBYL (Ukraine). Catastrophe humanitaire et écologique énorme déclenchée par l’explosion du réacteur n°4 et pollution massive au césium de l’atmosphère, des eaux, du sous-sol.
30 septembre 1999 : TOKAIMORA (Japon) fuite de vapeur radioactive. Un ouvrier gravement irradié. Plus de 20 000 personnes sont évacuées… Une lourde alerte qui n’a pourtant pas servi à grand chose…
11 mars 2011 : FUKUSHIMA (Japon). Catastrophe dont les suites ne sont toujours pas stabilisées en 2013.
Les Francs-comtois ne doivent pas oubliés qu’ils vivent entre deux des plus vieux réacteurs français : Fessenheim (67) et le Bugey (01). Ils sont aussi assez voisins des centrales atomiques Suisse (la plus proche étant celle de Mühleberg près de Neuchatel (CH) (Voir page: Centrales nucléaires suisses : Lacunes...
Pour en savoir plus, consultez :
– la LISTE A CE JOUR DES ACCIDENTS NUCLEAIRES
– le site « Sortir du nucléaire » : www.sortirdunucleaire.org
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