Aménagement de nouvelles routes et faune sauvage.
publié le27 avril 2008
Avec l’évolution sans cesse grandissante du parc automobile (+ 18 % au cours de la dernière décennie, sources TNS Sofres) et l’extension du réseau routier, la petite ou grande faune sauvage (et non « le gibier » NDLR !) se trouve de plus en plus prise en otage.
Voir la prise de position de la cpepesc « Projets routiers : Il faut prendre en compte la faune sauvage! ».
L’entretien des accotements des routes
Stop au tout goudron. Partout ou cela est possible, conserver un accotements enherbé c’est préserver à la fois le paysage et un refuge pour la petite faune et la flore.
L’entretien par fauchage ne devrait jamais être effecté avant la floraison.